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Marianne lui indiqua le fauteuil en tête d’elle d’un facile fait, sans émettre une expression. Parfois, la jolie voyance se passait d’introduction. L’essentiel était déjà là, flottant dans l’air, attendant d’être traduit par les cartes. Marianne prit son sport et le battit mollement, digérant l’énergie de la période. La jeune homme suivait le mouvement des cartes du regard, fascinée et troublée conjointement. Lorsque Marianne posa le divertissement devant elle, elle tendit la index pour nuancer les cartes avec une hésitation à colle secrète. Son âme était mesuré, mais son regard en disait long sur l’intensité de ce qu’elle vivait intérieurement. La la première carte fut retournée. Une mer zen marqué par un ciel étoilé, où une seule embarcation dérivait légèrement. L’incertitude, la solitude traits à une règle forte, l'impression d’être à la carrefour sans apprendre quelle guidage imiter. 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